Laurent Van Der Stockt : Photographe de tous les conflits
Le projet
Le portrait d'un photographe.
Le travail des élèves reste en état mais vient se rajouter des commentaires et remarques.
Laurent Van Der Stockt est né en 1964 en Belgique.
Après une entrée clandestine en Roumanie, il donne à voir les conditions de vie sous le régime de Ceausescu : y revient à sa chute, peu de temps avant de rejoindre l'Agence Gamma, en 1990.
Que faut il faire/
Respecter les étapes de la transformation de l’expression écrite en papier journal.( source de ces informations http://www.24hdansuneredaction.com/presse)
L’angle : façon d’aborder un sujet.
L’accroche : première phrase, premiers mots conçus pour « accrocher » l’attention du lecteur.
Le corps : texte d’un article...
La chute : conclusion de l’article, phrase finale, derniers mots.
Votre article doit disposer :
D'un titre
D'un chapeau: petit texte présentant et résumant un article.
D'un sous-titre ou d'inter-titres : titre intermédiaire disposé dans le texte.
De votre signature : prénom et nom de l’auteur présentés (ici) en tête, en long ou en initiales…
De vos sources ou dans cet exercice, de vos emprunts.
Les photographie sont toujours légendées
Le crédit photo est obligatoire: signature d’une photo.
Photographe de tous les conflits : de l'Ex-Yougoslavie à l'Afghanistan, de la Tchétchénie à la Guerre du Golfe, en passant par l'Afrique et par le Moyen-Orient, il couvre l'actualité pour de nombreux journaux internationaux.
ICI/
Intégrez certains de ses photoreportages dont son travail pour le journal le Monde à Mossoul.
Votre article doit, au-delà de ce portrait stéréotypé et assez peu personnel (trop lycéen), permettre aux lecteurs de s’intéresser aux médias d’informations et en particulier à ceux de la presse écrite et découvrir la richesse de leurs contenus Web. C’est l’ambition de votre engagement dans cet atelier.
A une autre échelle, votre exercice, suppose la recherche d’informations et l’emploi « appliqué » du moteur de recherche.
Prenez le temps de l’investigation. Arrêtez-vous sur les Web reportages, lisez ou écoutez les interviews. Investissez- vous dans cette tâche « honnête » qu’est le travail. Cela prend du temps, et vous semblez ne pas toujours en avoir, mais produire de la « qualité » n’est pas une chose simple. Bannissez cette lenteur intellectuelle qui vous fait penser qu’échanger sur les réseaux sociaux est suffisant.
Soyez vif, portez de l’intérêt au monde. Soyez curieux de tout et de l’autre. Ne repoussez jamais ce qui vous semble en soit trop éloigné de vos préoccupations, de ce « territoire de proximité » souvent virtuel et parfois si étroit à l’âge de l’adolescence. Il ne doit pas vous suffire.
Allez chercher par vous-même, riches des outils d’analyse que vos enseignants vous lèguent. Faites leur confiance, à eux comme à ceux qui se « battent » pour vous informer et appliquez votre expertise objective et humaniste à expliquer ce « territoire commun et partagé » qu’est notre Terre .Défendez le.
Ne vous limitez pas à l’instant, à la réaction facile et à l’impulsivité. Prenez le temps de la réflexion et de l’analyse. Relisez la charte de déontologie des journalistes dont voici un extrait
« Le journalisme consiste à rechercher, vérifier, situer dans son contexte, hiérarchiser, mettre en forme, commenter et publier une information de qualité ; il ne peut se confondre avec la communication. Son exercice demande du temps et des moyens, quel que soit le support. Il ne peut y avoir de respect des règles déontologiques sans mise en œuvre des conditions d’exercice qu’elles nécessitent.
La notion d’urgence dans la diffusion d’une information ou d’exclusivité ne doit pas l’emporter sur le sérieux de l’enquête et la vérification des sources ».
Ne laissez pas de place à la suffisance.
ICI un sous titre
Il fait de la prison et est grièvement blessé à plusieurs reprises. La première fois en 1991, à Vukovar où un éclat d'obus lui transperce le bras gauche. En 2001 à Ramallah ; un genou touché par un sniper israélien, puis, en 2005, à Fallouja, au bras encore. (ces lieux?)
Il témoigne du cyclone "Katrina", portraiture les jeunes des banlieues de Bastia pour le Fond National d'Art Contemporain, rend compte du flou politique suite au départ d'Aristide à Haïti.
Un commentaire est nécessaire sur la variété des ces travaux.
Son travail (lequel) est récompensé par le Award d'Excellence - Prix de Journalisme de l'Université de Columbia en 1991, par le Prix Paris Match en 1996, par le Prix Bayeux des correspondants de guerre en 1995 et par le Prix du Festival du Scoop d'Angers à quatre reprises entre 1991 et 1996.
Il expose notamment lors de Visa pour l'Image à Perpignan (1994-Les enfants de Kaboul ), à la Maison Européenne de la Photographie (1996-Grozny ) et à la Bibliothèque nationale de France à Paris (2008-Irak) .
Laurent Van der Stockt a photographié la Tchétchénie, l'Irak, la Syrie... et a vu ce que la guerre laisse derrière elle: des ruines, des blessées, des victimes, la peur et la tristesse sur les visages des civils..
Les photos doivent être légendées
Pourtant, il refuse d'être qualifié de "reporter de guerre". La guerre, en soi, ne l'intéresse pas.(vos sources)
Ce qu'il veut, c'est capter le moment où l'être humain se révèle, que ce soit après l'ouragan Katrina, dans les banlieues de Bastia ou sur un champ de bataille. Expliquez cette phrase. Qu'entend il par " se révèle"
Il fait partie de la "génération des Balkans" ,
Ces photographes qui ne croyaient déjà plus qu'une photo pourrait changer le monde. Si vous choisissez de reproduire cette phrase , vous devez lui donner un sens .
Pourtant, il continue à penser qu'il doit toujours garder les yeux ouverts pour témoigner, sans voyeurisme, de la souffrance des victimes de notre temps.
Appuyez vos dires par une photographie commentée ou un "sonore".
Comme cette interview téléphonique de Patricia Martin sur France Inter
Grièvement blessé par trois fois, il n'envisage pas pour autant d'arrêter: en effet, comme il le dit, il suffit d'une main pour photographier...
ICI un sous titre
Envoyé par ARTE Reportage au sein du camp darfourien de Breidjing, dans l'est du Tchad, il a organisé un atelier et confié dix appareils photo à dix réfugiés, hommes et femmes, âgés de 10 à 33 ans. "Tous les dix ont la même histoire, explique Laurent Van der Stockt. Ils ont fui les violences du Darfour en 2004 pour atterrir dans l’est du Tchad. Ce sont des survivants dont l’existence s’est figée ici, il y a dix ans, loin de chez eux, comme les quarante mille autres soudanais qui vivent dans le camp de réfugiés de Breijding. Ils ont appris qu’ils avaient la possibilité de participer à un atelier et s’initier à la photographie, qu’ils pouvaient montrer, raconter et que leurs travaux seraient visibles sur le site d’un média reconnu. Ils ont entendu que la seule condition était d’en avoir envie et de s’y consacrer quelques jours."
"Très vite après leur arrivée au rendez-vous", poursuit le photographe, "ils ont compris qu’ils choisissaient de ce dont ils parleraient, de ce qu’ils trouvaient beau ou terrible, de ce qu’ils regrettaient ou espéraient, d’eux-mêmes ou de leurs voisins. Ils sont enthousiastes parce que ce sont eux-mêmes qui se racontent et que ce sont eux qui décident de ce qui est important, que des photos tout le monde peut en faire mais que ce qui compte ici c’est - qui - parle, de quoi, et à qui. A la fin de ce premier jour, chacun savait à quoi il allait travailler, ce qu’il voulait dire et montrer".
Préciser que ce texte n'est pas de vous mais celui du site d' Arte Reportage. (voir ci-dessous)
Voici quelques unes des photos des réfugiés:
Des noms/ Khadidja Mahamat Khatir - Les paysages Zakia Sidik Daoud - L'habitat Aziza Issak Mahamat - Le social Mansour Adam Ali - L'agriculture Sarah Ibrahim Issa - L'humain Noureddine Hamad - Des portraits Houda Adam Ali - L'éducation Youssouf Issak - L'eau Ikram Ismail Hassan - L'humain Adam Idriss Abdallah - Des portraits Zakia et Khadidja - L'humanitaire
ICI un sous titre
A ce stade de la réalisation, votre production est un empilement d'articles repris sans modification.
Tout le travail en amont a été oublié . Les sources ne sont pas citées.
Pour la 21ème édition du Prix Bayeux-Calvados, un correspondant de guerre, un photographe, Laurent Van der Stockt, fait entrer 200 000 victimes syriennes dans le chœur de la cathédrale de la ville.
Cette n'a même pas été modifiée: "un photographe".
Exposer en Normandie, dans un lieu de culte, des photographies prises pendant une guerre qui dure et s’impose au monde comme un terrible bruit de fond, c’est une autre affaire.
« Je ne voulais pas donner un coup de poing dans la gueule aux visiteurs de la cathédrale. » explique Laurent Van der Stockt. Donc pas de combats. Pas de blessures atroces. « Pas de clou dans les mains. Je suis en-dessous de l’imagerie de ces lieux. A côté d’une de mes photos, il y a une statue avec une main coupée… »
Enchâssés dans l’architecture de la cathédrale, dans les niches de saints, les syriens dialoguent avec les vitraux et peintures qui ornent les différentes chapelles et travées. Elles interpellent les paroissiens et les visiteurs, comme le touriste anglais passant entre deux visites de plages du débarquement. 70ème anniversaire oblige.
Les sources sont multiples
www.telerama.fr/...van-der-stockt...la-cathedrale-de-bayeux,
Le photographe Laurent Van der Stockt l'a fait, dans la cathédrale de Bayeux, ... Prix Bayeux-Calvados des correspondants de guerre; 0 commentaires Donnez votre avis;
www.dailymotion.com/video/xlhkob_laurent-van-der-stockt-reporter...En cache
Prix Bayeux-Calvados 2013 : dévoilement de la stèle au mémorial des reporters par Prix Bayeux-Calvados des correspondants de guerre
www.rfi.fr/...cathedrale-bayeux-laurent-van-der-stockt-photographie
... C'est le pari gonflé de Laurent Van der Stockt, lauréat du Prix Bayeux 2013. Disséminés dans la nef, au hasard des chapelles ... Raconter la guerre en ...
Prix Bayeux-Calvados. Laurent Van der Stockt investit la ...www.ouest-france.fr
Le photographe propose une exposition à l’intérieur de la cathédrale de Bayeux. Des portraits de Syriens qui incarnent les 200 000 morts de cette guerre. C'est ....
Interview de Laurent Van Der Stockt - Prix Bayeux-Calvados ...www.youtube.com
Laurent Van Der Stockt, photographe, nous parle du conflit en Syrie dans le cadre de l'exposition « 200 000 Syriens » à la cathédrale de Bayeux.
... Laurent Van der Stockt a été lauréat du Prix Bayeux ... "200 000 syriens" photographies de de Laurent Van der Stockt à la Cathédrale de Bayeux, rue du ...
Avec Célia Malherbe, nous avons décidé de vous exposer trois volets sur le parcours d'un photographe de renommé mondial, qui n'est qu'autre que Laurent Van Der Stockt: diverses photos sur ses missions menées en temps de guerre dans différents pays, son projet sur des réfugiés impliquant dix d'entre eux ainsi que son exposition dans la cathédrale de bayeux en 2014 montrant 200 000 victimes syriennes.
Le seul texte vraiment écrit du projet fait contraste aux extraits empruntés .
+Loin
La bataille de Mossoul
Accompagnant des militaires Irakien en opération dans un quartier de Mossoul, Laurent Van Der Stockt et une équipe de la BBC échappent à l'explosion d'une voiture piégée.
Embarqué aux côtés de l’équipe de la chaîne britannique et de la division d’Or irakienne lancée à l’assaut de Mossoul en Irak, le photographe est un « habitué » des conflits internationaux. Le reporter, qui couvre la bataille de la ville assiégée par les djihadistes de Daesh pour le quotidien Le Monde, s’est rendu par le passé en Ex-Yougoslavie, en Afghanistan, en Tchétchénie ou au Koweït.
Dans un article publié samedi sur le site de la BBC, le journaliste Feras Kilani présent aux côtés des soldats et du photographe, précise que l’attaque serait due à une voiture piégée visant le convoi : « L’équipe va bien après une attaque suicide de Daesh », a-t-il également tweeté. L’entrée des forces irakiennes dans le fief de Daesh, donne lieu depuis, à de violents combats urbains.
Trois semaines après le début de l’offensive, la plus importante opération militaire en Irak ces dernières années, les jihadistes sont attaqués sur plusieurs fronts, au sud par l’armée et la police fédérale, à l’est par les forces d’élite du contre-terrorisme (CTS).( article de 20Minutes avec le Monde)
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