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Page Spéciale : Les lycéens réagissent aux reportages du prix régions des lycéens


Sentiments général


Après le visionnement des reportages de guerre du prix Bayeux 2017, nous avons un sentiment de tristesse. On remarque le manque de moyen au niveau électricité, eau et soins à cause de la guerre qui détruit tout, alors que contrairement à nous, qui possédons tout, cela nous ramène à la réalité de la vie. On se sent un peu mal à l’aise quand on voit leurs conditions de vie et les nôtres car nous, nous avons beaucoup de confort. Enfin, on ressent un sentiment altruiste envers eux, car ces personnes ont tout perdu, foyer, famille et amis à cause de cette guerre.

MOTTELAY Clément 1ES & MENANT Marine 1S



Herve-Cadet

La journée du 2 octobre 17 a été marquée par l’émotion. J’ai vu des images très choquantes, que ce soit à Mossoul, à Alep, au Soudan ou au Yémen. Les images les plus choquantes ont été celles où on voyait les enfants dans les hôpitaux. Ces images ont été marquantes car on se dit que ce sont des enfants qui meurent, tués par les balles, tués par la malnutrition. On voyait des familles détruites. C’est pour cela que j’ai voté pour le reportage avec les enfants dans les hôpitaux à Alep.

MARSAC Corentin 1S





Pichon-Jehanne

Lundi 02 Octobre 2017, nous avons assisté à une conférence où ont été diffusés dix reportages autour du monde, mais tous sur le même thème : la guerre. A la fin de ces reportages nous ressentons à la fois le courage, l’émotion, la persévérance mais surtout le dépassement des reporters. Bien que ces reportages soient différents, nous voyons la même vision de l’horreur de la guerre. En ressortant de cet après-midi, nous gardons en tête que les reporters jouent leur vie pour rapporter des images de ce qu’est la réalité dans ces pays.

PIMOR Maëva et MOUVILLE Mathilde 1ère L



Hier, Lundi 2 Octobre, j’ai participé au prix des lycéens des reporters de guerre. Car je savais que j’allais voir des images chocs. Et je fus servie.

10 reportages, 10 chocs, 10 conflits. J’ai baissé les yeux plus d’une fois. J’ai vu la guerre, je me la suis prise en pleine face. Je suis impuissante, oui impuissante, choquée, écœurée, dégoutée, révoltée, triste. J’ai pris conscience de la guerre, des morts, des ruines. Et après tous ces sentiments, je me suis demandée quand l’horreur de cette barbarie s’arrêterait.

LE ROULLEY Méline 1L



Guesnet-Adeline

C’est la guerre

Aujourd’hui je joue

Demain je meurs

Sous le bruit des balles

Et dans cette maison

Je ressens l’abandon

De cette ville devenue

Champs de ruine

De mes parents absents.

C’est la guerre

Pour les grands

Mais aussi pour les enfants.

HAREL Eloïse, LEFRANCOIS Judith et BAILLEUL Aude



Ce lundi 2 octobre, nous avons visionné les 10 reportages de la catégorie télévision. La plupart partaient sur l’assaut de la ville de Mossoul et les séquelles qui touchent les enfants. Les reportages étaient tous très durs et crus et laissent un sentiment d’amertume et de compassion envers les victimes. Compassion envers ces innocents que nous devons de soutenir dans la crise qu’ils traversent, et l’amertume de l’impuissance de nos actes face aux drames qui se déroulent sous nos yeux.

Tom et KUGLER Martin 1S




Bouet

La rencontre avec Arnaud Comte


Arnaud Comte est un reporter qui, malgré ses nombreuses expériences, reste très humble. Il explique la destruction des villes, ce qui nous fait prendre conscience qu’il y a des endroits sur terre qui sont dévastés par la guerre et tellement différents de notre « monde »

DELAROQUE Tom et ANFRAY Adrien







Caron

Lundi 2 octobre, nous avons assisté à une conférence où nous avons rencontré Arnaud Comte qui est un journaliste reporter pour France 2 depuis 12 ans. Il a 32 ans, il a couvert des zones de conflit comme l’Irak. Il nous explique qu’il fait ce métier car les gens ont besoin de raconter ce qui se passe dans leur pays et acceptent d’être filmés. Ils sont heureux que des occidentaux s‘intéressent à eux, ainsi ils ne se sentent pas oubliés. Il dit également que les reporters ne sont jamais prêts à partir en zone de conflit, ils n’ont pas de préparation spéciale mais c’est un métier où un mental d’acier est indispensable. La peur est nécessaire pour ce métier, ne pas avoir peur est de l’ordre de l’inconscience et ça peut devenir très dangereux pour le journaliste. Sur place, il a besoin d’un fixeur, qui joue un rôle d’ange gardien, qui connaît bien le pays et le conflit. Pour finir, les reporters peuvent avoir des séquelles physiques et psychologiques et un besoin de parler de ce qu’ils ont vécu. Leur retour à la vie normale n’est jamais facile, ils gardent des habitudes qu’ils ont pris en zone de combat.

SAINT-CLAIR Sascha et JOANNIN Charlotte




Le lundi 2 octobre 2017, à l’Auditorium de Bayeux, le journaliste Arnaud Comte qui travaille depuis 12 ans chez France 2 s’est adressé à un groupe de lycéens au sujet de son métier en s’appuyant sur son reportage à Mossoul. Ce journaliste de 32 ans a vécu plusieurs expériences, notamment à Fukushima, l’affaire DSK à Lille et à New-York ainsi que la guerre en Irak et en Syrie. Arnaud Comte nous a paru passionné par son métier. Il est déjà prêt à repartir en Syrie à Raqqa.

LYOEN Cécile et LECONTE Lysandre



En rencontrant Arnaud Comte dans le cadre du prix Bayeux des reporters de guerre 2017, j’ai appris beaucoup sur le métier de reporter de guerre. C’est un métier dangereux. Dans les zones de conflits, il faut prendre conscience des dangers de la guerre qui peuvent vous retirer la vie en quelques secondes. Le métier de reporter ne sert pas seulement à informer, il est aussi un moyen d’expression pour les civils ayant tout perdu.

MALHERBE Maxime



Nous avons appris au cours de cette rencontre que le métier de reporter de guerre n’est pas facile. En effet, comme nous l’a décrit Arnaud Comte, le reporter de guerre est directement sur le champ de bataille, et est donc exposé aux graves dangers qui s’y trouvent. Comme dit Arnaud Comte, « notre vie se joue à la roulette russe. »

BUISSON Arthur et LELANDAIS Margaux


Au cours de cette intervention, nous avons pu poser des questions au journaliste Arnaud Comte.Il fait partie de ces journalistes animés par la passion de leur travail qui se sont rendu sur les premières lignes du combat dans des endroits hostile tels que Mossoul (Irak). Il a suivi l’horreur de la guerre et nous la raconte à travers ses récit qui n’ont pas laissé le public indifférent. Les réactions provoquent ont été un mélange de tristesse et de colère qui ont été la source d’une prise de conscience du drame qui se déroule chaque jour à l’autre bout du monde.

Roullier Pierre Louis






Regard sur les zones de conflit


Le mont Nouba fait face à des conflits depuis des années. Les Noubas soutiennent le Soudan du Sud car ils veulent leur indépendance. Cependant, cette zone est très importante pour le Soudan car elle possède une grande quantité de pétrole. En représailles, le Soudan bombarde tous les jours (excepté à la saison des Pluies) en visant principalement les bâtiments communs (écoles, cliniques, mosquées, etc.). Pour se protéger, la population locale creuse des trous et s’y cache pour éviter les bombardements.

Quentin Legot et Tom Vallier 1S


Dans les reportages visionnés, nous avons pu observer le conflit en Irak, notamment celui de Mossoul. Le conflit a débuté dans Mossoul en octobre 2016 et s’est terminé en juillet 2017. Ce conflit oppose les Peshmergas, les milices chiites et les forces de la coalition, aux djihadistes de l'État islamique.

Bastien Folliot et Hugo Marie 1ES


Cette bataille oppose d’un côté les forces gouvernementales irakiennes, les Peshmergas, les milices chiites des Hachd al-Chaabi, quelques milices sunnites et chrétiennes, et de l’autre les Djihadistes de l’état islamique, Daech. L'offensive de la coalition est lancée le 17 octobre 2016 par le Sud et par l'Est. L’armée irakienne prend position à l'intérieur de Mossoul le 1er novembre. Les milices chiites des Hachd al-Chaabi passent à l'attaque à l'Ouest de Mossoul et achèvent l'encerclement de la ville le 22 novembre 2016. La libération complète de Mossoul est annoncée par le gouvernement irakien le 10 juillet 2017, mais des affrontements se poursuivent pendant au moins une dizaine de jours.

Bilan de cet affrontement

Le 16 juillet 2017, l'armée irakienne affirme que 25 000 hommes de l'État islamique ont été tués après neuf mois de bataille. Elle revendique également la destruction de 1 247 véhicules piégés et environ 130 drones. Cependant ce bilan est sûrement exagéré. Du côté de la coalition quelques 1600 soldats ont perdu la vie. Enfin, près de 40 000 civils ont perdu la vie au cours de cette bataille extrêmement violente.

Lucas Becquet et Hugo Ducongé 1ES





Les reportages visionnés


Reportage n°2 :


Nous avons visionné dix reportages sur les différents conflits à travers le monde. Ces reportages nous ont montré dans quelle misère vivent les civils qui subissent la guerre. Parmi ces reportages, j’ai fait le choix de voter pour le reportage n°2 qui était en IRAK car j’ai trouvé que les plans choisis et la façon de filmer étaient vraiment réussis. La voix OFF était aussi agréable à écouter.

Caolàn GILES 1°L


Reportage n°3

Mossoul, une ville blessée…

Ce lundi 2 octobre 2017, nous avons assisté à l’interview d’Arnaud COMTE, un reporter de France 2 suivi d’un visionnage d’une série de reportages sur différents conflits. Par la suite, on a dû choisir celui qui nous paraissait le plus frappant et marquant. Nous avons ressenti plusieurs sentiments. Nous avons tous pris conscience du désarroi des civils innocents.

Plusieurs personnes venues du monde entier ont essayé d’agir face à cette misère. C’est pour cela que nous avons choisi deux reportages distincts qui mettent en avant l’aide médicale et l’aide de l’armée. Tout d’abord, dans le reportage numéro 3, des enfants blessés perdent tout ce qu’ils ont lors d’un effondrement d’immeuble, ils vont se réfugier dans un hôpital pour trouver des soins. Ensuite, dans le reportage numéro 5, l’aide américaine aux blessés sur la ligne de front de Mossoul est mise en avant

BUGEAT Marie 1ère S GAUTIER Damien 1ère ES



Reportage n°5

Les différents reportages du Prix Bayeux déclenchent des sentiments de peine pour les habitants qui subissent et luttent contre l’oppression djihadiste. Les reportages suscitent aussi l’envie de s’engager. Les reportages sont là aussi pour nous faire prendre conscience de la misère et du dénuement dans lesquels vivent les victimes de la guerre. On se rend compte du besoin des habitants sur place comme le besoin de médicaments, de nourriture et d’eau potable.

Le reportage 5 que nous avons choisi traite des secouristes de l’armée américaine qui se portent volontaires pour secourir des vies sur la ligne de front de Mossoul. Leur aide humanitaire nous incite à proposer nos services pour les besoins sur place.

Le Royer Pierre et Lallemand Clément 1ES



Reportage n°6

Les sentiments que nous ressentons pour ces gens, ces familles, ces enfants sont la pitié, la compassion, la tristesse. Ils ont perdu des proches, des amis. Des familles sont détruites par les bombardements, l’écroulement de leur habitation, des vies perdues sous les décombres. Dans les hôpitaux, après un bombardement, des parents essayent de retrouver des proches et des jeunes enfants viennent retrouver leurs parents. Certains deviendront certainement orphelins... C’est pour cette raison que nous avons choisi le reportage 6.

Antoine Tirard, Kerwann LeMarchand




Après chaque reportage, on a tous un sentiment de colère, de haine, de culpabilité et d’impuissance. Un sentiment de colère et de haine envers les djihadistes et un sentiment de culpabilité et d’impuissance pour les habitants qui sont les premières victimes de la guerre.

Nous avons choisi le reportage 6. C’est le plus choquant. On peut voir la détresse des habitants. On voit une femme blessée qui a perdu ses enfants, une fille blessée qui est perdue ou encore deux enfants qui cherchent désespérément leurs parents. C’est à ce moment-là que l’on a un sentiment d’impuissance, de culpabilité et de pitié.

LECOUTRE Gaston et OLLIVIER Antoine 1°S/ES



Nous sommes allés à l’Auditorium pleins de curiosité, intrigués et pressés de rencontrer Arnaud Comte et de découvrir les dix reportages nous présentant les horreurs de la Guerre. Les différents reportages qu’on nous a présentés se déroulent en Syrie, en Irak, au Soudan, en Ukraine et enfin au Yémen. Toutes ces vidéos sont récentes, toutes réalisées entre octobre 2016 et mars 2017.

Avant de nous rendre au point de rendez-vous convenu, ma camarade et moi avions hâte de cette rencontre qui était un privilège et une vraie opportunité, mais une certaine appréhension régnait.

Nous savions que le témoignage d’Arnaud Comte serait riche et poignant du fait qu’aucun d’entre nous n’a effectué sa profession ou bien perçu la vie, le chaos, la guerre à laquelle ce dernier a assisté.

Les reportages, aussi bien réalisés les uns que les autres, avaient pour but d’interpeller les spectateurs et de dénoncer cette violence à laquelle nous, citoyens français, n’avons jamais été confrontés. Les reportages n’ont subi aucune censure. Les images de par ces journalistes font parfaitement passer le message voulu. Nous avons été subjuguées par le travail fourni et abasourdies, choquées et révoltées devant de telles violences, de telles injustices et de barbaries réunies.

Plusieurs sentiments nous envahissent. Un oubli de nous-même s’opère et un respect pour le dévouement de ces hommes, ces guerriers, ces civils, qui effectivement sont tous victimes de ces situations. Une certaine remise en question s’effectue en tant que Français, à l’abri de tout besoin, de tous dangers extrêmes.

Le reportage n°6 nous a meurtris. Cet hôpital situé en Syrie où les familles sont dévastées, désemparées, démunies. Nous éprouvons une grande impuissance. Nous voudrions agir de notre échelle car au moment même où nous rédigeons ce travail écrit, ces hommes, ces femmes, ces enfants, ces familles, ces amis, sont toujours prisonniers de leur situation, sont toujours confrontés aux horreurs de la mort et de l’inquiétude qui font partie de leur quotidien depuis trop longtemps.

Le reportage que nous avons choisi est le sixième. A nos yeux, il est le plus touchant et surtout le plus choquant. On se rend compte que toutes les personnes ayant survécu ont perdu un ou plusieurs proches. On a tout d’abord l’exemple d’une femme, couverte de poussière et de sang, hurlant qu’elle a perdu tous ses enfants. On la voit, confrontée au cadavre de sa fille, pleurant toujours plus fort. On nous présente ensuite un jeune garçon, tenant fermement le cadavre de son petit frère, âgé seulement de trois mois, et refusant de le lâcher. On nous explique que le seul visage apaisé est le visage de cet enfant mort, comme si mourir était la seule solution pour enfin se sentir bien. Le jeune garçon, toujours accroché à son petit frère décédé, tente de réconforter la femme qui a perdu ses enfants. On voit durant le reportage beaucoup d’autres rescapés, qui expliquent que leur immeuble s’est effondré, qu’ils se sont retrouvés écrasés par les décombres et par les corps de leurs voisins. Deux enfants attendent de savoir s’ils sont orphelins, après avoir quittés le corps inerte de leur père. Des soignants cherchent leur mère parmi les nombreux blessés, mais elle ne semble pas être là.

On peut voir sur le visage de chacun le traumatisme, la peur et la tristesse, comme si leur vie ne se résumait qu’à ces horreurs.

Camille Cosnier et Onfroy Inès 1èreL



Nous avons voté pour le reportage numéro 6 qui se déroule à Alep en Syrie en décembre 2016. Ce reportage se concentre sur un hôpital gardé par des rebelles, on y voit des personnes ayant perdu leurs enfants, leur mère, leur père ... Une mère crie la mort de ses enfants. Les médecins sont très peu nombreux, ils essaient de faire du mieux possible pour sauver des vies mais malheureusement la mort l’emporte.

Nous avons choisi ce reportage car il nous a touchées, on voit des enfants innocents ayant des blessures de guerre. C’est horrible.

DESHAYES Chloé 1°S – THOMAS Léa 1°ES





« Des reportages touchants et violents »


Lors du visionnage des reportages de guerre notre premier sentiment a été de la pitié en voyant ces familles victimes des bombardements et de ces attentats qui détruisent leurs habitations. Mais aussi de la tristesse en regardant ces mères sans leurs enfants et aussi les enfants gravement blessés sans leurs parents en attente de des soins.


Quel reportage choisi et pourquoi ?

Le reportage choisi est le numéro 6 car dans ce petit film nous avons ressenti la détresse des ces personnes et la misère dans laquelle ils vivent au quotidien. Dans ce reportage il y a les blessés, les victimes, des effondrements d’habitations mais également des corps sans âme.

Nathan David et Benjamin Lefrançois 1ES




Dans le cadre du prix des reporters de guerre 2017 de Bayeux, le sentiment le plus présent était celui de l’horreur. Cela nous a ouvert les yeux sur ce qu’est véritablement la guerre et nous a fait changer notre point de vue sur celle-ci. Nous ne pouvons que ressentir de la compassion et de la tristesse face à ces personnes blessées et ces enfants traumatisés qui vivent dans cet enfer chaque jour. Le reportage qui nous a le plus marqués est celui qui se passe dans un hôpital improvisé. Nous y voyons un jeune garçon tenant son frère mort dans ses bras, deux enfants ne sachant pas encore s’ils sont orphelins et une mère qui a perdu toute sa famille. Ces personnes seront sûrement traumatisées à vie et auront des séquelles physiques pour toujours. Ce reportage est un des plus touchants car il montre toutes les horreurs causées par la guerre.

Cyril KETERS 1ES et Léa VILLAIN 1S




Le reportage n°6 est celui qui nous a le plus touchés. Il montre des habitants d'Alep, capitale de la Syrie, en 2016. Le reportage montre notamment la misère d'une femme, au sein de l’hôpital d'Alep, après des bombardements aériens ayant détruit la ville. Cette femme et sa nièce sont les seules survivantes de leur famille. Dans l’hôpital, des enfants comme des adultes sont désespérément à la recherche de leur famille. Malheureusement, ils ne retrouvent souvent que des cadavres, ce moment nous a bouleversés.

MARIE Camille et MARIE Léonore 1ES



C’est en décembre 2016, que le dernier hôpital d’Alep, en Syrie accueille beaucoup de blessés de guerre suite aux bombardements causés par Daesh. Dans le reportage, une famille a été décimée par une bombe qui a fait s’écrouler un immeuble. Dans l’hôpital, c’est le grand désastre car beaucoup de familles ont perdu de nombreux poches. Les familles appellent au secours et tentent d’attirer l’attention sur leur situation catastrophique.

PESCHE Bertille et BENOIT Clélia




Reportage n°9

Le reportage 9 se situe au Yémen dans le Moyen-Orient. A travers cette courte vidéo, le reporter nous fait part de la situation critique de la population. En effet, à cause des conflits, la présence de vivres et de médicaments est quasi inexistante, ce qui entraine de nombreux morts particulièrement chez les enfants et les nourrissons. Via ce reportage, les familles présentes au Yémen espèrent faire changer les choses en exposant aux yeux des caméras la situation dans laquelle elles vivent. Ici, le journaliste nous présente le cas d’une mère de famille qui est dans l’incapacité d’acheter des médicaments pour sa fille atteinte d’une maladie du foie.

CHAN TSIN Lucie et BUEE Adèle








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